Lowertown introduction |
Introduction de la Basse-Ville |
Lowertown Introduction was written by the
Bytown Museum From its founding in 1826 as a canal worksite, Bytown (now Ottawa) was divided geographically, with Uppertown to the west of the Rideau Canal and Lowertown to the east. Lowertown, then bounded by Sussex, Clarence and Rideau streets and the Rideau Canal, was swampland. In addition, the Bywash carried runoff from the Canal through Lowertown to the Rideau River. The polluted water only added to the unhealthy living conditions in the village. Lowertown was also known as a boisterous and, often times, violent neighbourhood. At the time, Clarence Street was a bustling row of taverns and brothels catering largely to the town’s seasonal lumbermen and labourers. Every spring, hundreds of lumberjacks arrived in Lowertown with half a year’s wages in their pockets. After spending months in the woods, they were eager for the diversions Bytown offered. The town's physical divide was mirrored by its ethnic and religious differences. Uppertown was settled by a relatively wealthy British Protestant minority. Lowertown, where two-thirds of the population resided, was home to poor, primarily Roman Catholic families, mostly of Irish and French background. The makeup of Lowertown's population changed little over the next century, with the exception of an influx of Jewish and Italian immigrants in the late 1800s. In 1951, over 10,000 people were living in the ByWard Market and surrounding area. The 1960s saw the beginning of a massive population decline as families moved to new suburbs. In addition, a policy of urban renewal resulted in the eviction of many residents, whose homes were subsequently torn down. By 1986, the population sat at just over 3,000 people. Today, the population of Lowertown is trending upwards as new condos spring up in the area. The ByWard Market has transformed itself into one of the city's top tourist attractions, surrounded by a thriving community awash with heritage buildings, eateries, shops and entertainment venues. |
Introduction de la Basse-Ville, écrit par le Musée Bytown
Depuis sa fondation en 1826, un chantier de canal, Bytown (aujourd'hui Ottawa) est divisée géographiquement par la Haute-Ville à l’ouest du canal Rideau et la Basse-Ville à l’est. La Basse-Ville, délimitée à l’époque par les rues Sussex, Clarence et Rideau ainsi que par le canal Rideau, était un marécage. De plus, le déversoir transportait les eaux de ruissellement du canal vers la Basse-Ville dans la rivière Rideau. L’eau polluée ne faisait qu’ajouter aux conditions de vie insalubres du village. La Basse-Ville était également reconnue comme un secteur tumultueux, parfois même violent. À l’époque, la rue Clarence était pleine de tavernes et de bordels fréquentés principalement par les bûcherons et ouvriers saisonniers de la ville. Chaque printemps, des centaines de bûcherons arrivaient dans la Basse-Ville avec six mois de salaire dans leurs poches. Après avoir passé des mois dans les bois, ils avaient hâte de profiter des divertissements offerts à Bytown. La division géographique de la ville reflétait également les différences ethniques et religieuses de sa population. En effet, la Haute-Ville était peuplée par une minorité britannique et écossaise protestante plus ou moins riche tandis que la Basse-Ville, où vivaient les deux tiers de la population, était en grande partie peuplée par des familles catholiques pauvres d’origines irlandaise et française. La composition de la population de la Basse-Ville a peu changé au cours du siècle suivant, à l’exception d’un afflux d’immigrants juifs à la fin des années 1800. En 1951, plus de 10 000 personnes vivaient dans le marché By et le secteur environnant. Un important déclin de la population s’est amorcé dans les années 1960 alors que les familles migraient vers les nouvelles banlieues. De plus, une politique de rénovation urbaine a entraîné l’expulsion de nombreux résidents dont les maisons ont été par la suite démolies. En 1986, la population dépassait à peine 3 000 personnes. Aujourd’hui, la population de la Basse-Ville tend à augmenter avec la construction de nouvelles copropriétés dans le secteur. Le marché By s’est transformé en l’une des plus importantes destinations touristiques de la ville et il est entouré d’une communauté prospère qui comporte nombre d’édifices historiques, de restaurants, de boutiques et d’établissements de divertissement. |